Nom ::Feuer
Prénom :: Eirik
[si vous traduisez bien mon nom de famille, vous y verrez un jeu de mots d'une facilité extrême...bon ok je vais écrire et me la fermer!]
Âge ::14
Rôle ::Protecteur de l'élue noiceur de feu^^
Race:: humain
Description Physique :: [4 lignes minimum]
Le plus frappant lorsqu'on le regarde, ce sont les cheveux d'Eirik. Une sorte de mauve délavé portant vers le rouge foncé. Une couleur qui est sujette à des questions...et des commentaires. D'ailleurs, ses yeux adoptent la même couleur inhabituelle, amis avec une touche plus rougeaude. Mais ses yeux, peu de gens les remarquent. Il a une chevelure plus extraordinaire. Portés longs, ses cheveux sont souvent en désordre et ne réussissent jamais à atteindre ses épaules; ils flottent dans les airs. Comme de petites flammes lila/bourgogne qui se promènent au gré du vent. Mais ses cheveux ne cachent pas son visage, au contraire. Il a un nez en trompette qui se démarque assez bien du reste et une toute petite bouche qui pourtant en laisse passer beaucoup...
Il a des oreilles assez grandes et assez rondes, mais elles s'harmonisent bien avec le reste. Il n'est pas extrêmement beau, ni laid. Disons qu'il a un physique particulier qui peu faire son charme. Mais il ne se complexe pas avec son physique; il a d'autres chats à fouetter!
ll est souvent [toujours] vêtu de foncé. Au cou, il porte un étrange collier tellement long qu'il fait au moins 20 fois le tour de son cou. Dessus, il a accroché deux anneaux dont lui seul en connait vraiment l'histoire.
Description psychologique :: [3 lignes minimum]
Il a toujours une expression calme collée sur son visage. Une sereinneté si permanante qu'on se demande en fait s'il a des émotions. Mais Eirik a des émotions, seulement il ne les dévoile jamais au grand jour, et ce depuis son plus jeune âge. Ses sentiments bouillonnent en dedans sans ne jamais être dévoilés. Il ouvre peu souventla bouche qu'en présence seulement de personnes de confiance; qu'il connait bien. Comme l'élue qu'il protège, par exemple. C'est probablement le premier contact non-familial qu'il aura eu depuis sa naissance.
Il déteste son père. Pour son incompétance. Et a pitié de sa mère. Pitié de ce silence qu'elle a gardé et qu'elle gardera toujours.
Histoire :: [8 - 9 lignes minimum] [Je sais que c'est beaucoup mais nous voulons voir votre niveau de Rp. Si vous êtes en panne sèche d'idées, écrivez le ^^]
Des cris.
La peur.
La peur de voir.
La peur de parler.
La peur de vivre.
C'est le destin.
C'est lui qui choisi.
Lui qui a choisi.
De me faire naitre.
De me faire vivre.
De le tuer.
Dès ma conception, ma vie était déjà commencée de travers. Ma mère était la servante de mon père. Mon père, je n'ose même pas l'appeler ainsi. Un jour qu'il a décidé d'assouvir ses bas instincts, c'est sur ma mère que c'est tombé. Déjà à cette époque il la battait, et ça n'a fait qu'empirer avec le temps. Je suis né d'une union sans amour. Né d'un monstre.
Mon père, apprenant qu'il avait mis Dana, sa servante, enceinte, fut contraint de l'épouser pour ne pas être mal vu par le voisinnage. Et moi, 9 mois plus tard, je suis arrivé dans ce ménage sans avoir été seulement prévenu de ce qui allait m'arriver.
J'ai grandi dans la violene d'un père qui, avec les dettes, sombra dans l'alcool et la dépression. Jamais il ne m'a appelé son fils. Jamais je ne l'ai appelé mon père. Et ma mère, ma pauvre mère, subissait les coups, sans se plaindre. Mais ensuite je la voyais pleurer. Des larmes énormes. Des larmes de chagrin. Des larmes d'innocents auquel on aurait fait du mal. De vraies larmes.
Je subissait les mêmes coups, mais j'avais pitié pour ma mère. Elle était blême et maigre à chaque lever de soleil. Un jour, je décidai d'aller la voir, alors que mon père tardait encore à la taverne. Je lui ai parlé d'un plan, une embuscade à lui tendre. Pas pour le tuer, pour se sauver. Puis elle hocha négativement la tête. "Si on se sauve, il nous trouvera. Il a beaucoup d'amis..." m'avait-elle dit. "Mais toi, continuait-elle, tu pourrais te sauver, tu es plus rapide". Mais je ne voulais pas. Car encore, ce serait elle qui recevrait les coups et supporteait la colère de mon géniteur. Mais à peine avions-nous terminé notre échange qu'il arriva. Ma mère me fit un clin d'oeil en me montrant un petit sachet qu'elle tenait dans la poche de son tablier. Un somnifère? Oui. C'était bien ça.
J'était à peine âgé de 10 ans. Dix ans que nous subissions les coups. Dix ans de patience. Dix ans de trop. À l'heure du souper, Dana lui servit son verre d'alcool quelconque, en y ajoutant une pincée de somnifère. Comme pour être certaine, elle en ajouta plus. Puis elle lui servit. Il la but d'une traite et nous regarda bêtement. Une minute passa. J'avais compté. Puis il s'endormit. Les yeux ouverts. C'était tellement inusité que nous nous sommes approchés pour vérifier s'il n'était pas...
...mort.
On l'avait tué. Sans aucune émotions, pas même la joie. Étais-ce du poison? Non, c'était bien du somnifère, mais comment...? L'alcool. Ne jamais mélanger deux pareils ingrédients; c'est mortel. Mais alors que faire? Si on se sauvait, on nous retrouverait et alors...alors...
"Sauve-toi". Les derniers mots de ma mère avant que je parte. Ses derniers mots avant que je me sauve. Les derniers mots pour me protéger. Le premier geste de sa vie.
Avant que je parte, elle me donna les deux bracelets qu'elle tenait aux poignets. Les miens étant trop petits, elle prit du fil et les mit à mon cou. Jamais plus je ne les y enlevai. Puis je me suis sauvé, laissant ma mère face à ce meurtre. Elle mourut 2 ans plus tard dans la prison locale. Au moins repose-t-elle en paix. Quant à moi, je me suis sauvé dans la forêt. Une dame assez jeune m'y trouva et m'ammena chez elle, j'étais à moitié mort de faim et de soif. Elle m'héberga jusqu'à ce jour. La dame, une jeune veuve, rêvait tant d'avoir des enfants qu'elle ne voulut plus que je la quitte.
Mais mon destin m'a ammené ailleurs...
Pouvoir spécial ::
Eirik a peut-être plusieurs pouvoirs, mais un seul lui est réellement familier: la force du feu. Il peut arriver à un niveau d'énergie assez fort pour alimenter un feu qui nait de ses mains. Plus il a d'énergie, plus la flamme est grande. Autant peu-il allumer une chandelle qu'il peut brûler une forêt entière avec la seule force de sa pensée.
Autre ::NoN.
Code de confirmation du règlement:: Noirceur